Mon petit plaisir à moi... ::::::::PV Alucard Limburg::::::::

J'aimais aller dans le métro, il avait beaucoup de cible potentiel à mon plaisir. Des femmes qui criait de désespoir quand elles ressentaient à peine la douleur, des hommes qui voulaient se faire croire des dur à cuire et qu'ils s'affrontaient à moi en tant qu'homme, des vieux qui ne réussisait pas à crier avant de souffir, ils mourrait tous avant d'une crise cardiaques et pleins de jeunes qui se débattaient après la douleur et qu'ils me racontaient toujours la même phrase... << Je suis trops jeune pour mourrir...>>. Comment quelqu'un pouvait-il être trop jeune pour mourrir ? Y avait t-il un age pour mourrir ? Pas dans mon cas, je tuait qui je voulais, quand je le voulais.

Je regardais la foule trop excité qui ne cessait de faire du bruit. je regardais chaque visage, de chaque personne, croisant leur regards. Puis un seul d'entre réussit à soutenir mon regard tous le long du passage entre le métro et la sortie à l'éxtérieur. Je le suivais. Il marchait sur le trottoir tranquilement, comparé à tous ceux à coté de lui, qui eux courraient. Il tournait dans une rue.

Je me mis à courrir après lui, le rattrapant, peu à peu. Et puis il m'entendit, se retourna, et me voyait courrir vers lui, alors j'apperçu la peur dans son visage, il se mis à courrir, mais il ne courrait pas asser vite. Je le rattrapai, le plaquai au mur d'un édifice. Sortis mon arme fétiche et d'un coup de lame gracieuse, je lui fis une coupure le long du corps, commencant juste en bas du coup, et se dirigeant diagonalement pour finalement se terminer vers sa hanche.

Il criait... moi... je riais.

Je voyais le sang tranquilement couler de sa blessure, tacher sa belle veste blanche, digne d'un homme d'affaire. Il recroisa mon regard, le sien était plus éffrayé que jamais. J'aimais voir la souffrance dans les yeux des hommes sa me rapellait la souffrance qui avait dans les yeux de mon frères au dernier coup de lame de ce combat si cruel. Pour ne pas qu'il puisse encore bouger je lui enfonca ma lame au fond de sa gorge et puis avec mon autre main le lacha du mur. Je vis le corps sans vie tombé à mes pieds... Je pris sa veste et essuya mon épée. Puis, je partis tranquillement, pour retourner au métro...

Le rat! Animal si détestable selon certain, pourtant, pour moi il était l'animal le plus utile. Petit, discret et surtout agile, il me permettait de me faufiler où je le voulais et ce, sans que personne me remarque. Je courais sur un file électrique, regardant des hommes et des femmes, insignifiantes créature, qui vivaient, selon eux, des évènements de la plus haute importance. Comme si leur vie était utile à autre chose que leur mort...

Je finisais par traverser le file électrique. Je regardais un peu partout, une femme attira mon oeil, différente de toute autre. Se démarquant par sa manière de marché, mais surtout par ses activités et son physique. Elle suivait un homme, c'était visible... du moins, pour moi. L'homme tourna dans une ruelle et la femme commença à courir. Elle m'intéressait de plus en plus! Elle rattrapa l'homme, celui-ci comprit enfin qu'il était suivi. Il partit à courir à son tour, mais lourdeau comme l'étais les gens de la ville, il fut vite rattrapé par cette jeune fille au yeux noir et au mouvement gracieux. Elle le plaqua littéralement au mur, un plaqué digne du foot-ball.

Son sabre siffla dans l'air, libérant un son crystallin, celui de la mort. Son cri déchira l'ambiance qu'elle avait pris la peine d'instaurer, j'en voulais à cet homme... Stupid! Le rire de la femme apporta une nouvelle ambiance, celle de la folie qui m'étais si chère. Je me levais sur 2 pattes et j'applaudissais sa réussite. Elle termina son travail en professionelle, lui enfonçant sa lame dans la gorge. Tandis qu'elle essuyait sa lame sur sa veste, je descendais le poteau et atteignat le sol, je me transformais. 6 secondes après, je me levais debout du haut de mes 6 pieds. Je n'avais pas pris ma forme original, je préférais ce corps, fait de muscle. Je ne cachais pas ma nudité, après tout, si un animal ne le faisait pas, pourquoi le ferais-je?

-Merci pour le spectacle! J'ai adoré! Pourais-je connaître ton nom beauté?

-Merci pour le spectacle! J'ai adoré! Pourais-je connaître ton nom beauté?

Je me retourna brusquement, retourna au même moment ma katana vers la personne, qui bizarement était nue. Je n'eu aucune réaction sur le fait qu'il soit nu, je me disait juste qu'il devait être différent... Aimer mon art, et ce promener nue, faut vraiment être différent. Je me demanda qu'es ce que ce jeune homme voulait ... m'arrêter ? Il allait avoir beaucoup de mal à m'imobiliser, sans équipement. Même s'il était grand et fort, moi j'aggissait plus avec mon agilité et ma rapidité, qu'avec ma force. Je me demanda tous simplement pourquoi il m'observait, et en plus il semblait heureux d'être témoin d'un meutre, ce qui le mettait en mauvaise posture, face à la meurtrière... Mais bon, je ne tenta pas de comprendre...

-Et, que fais tu à me regarder, tu sais que sa peux être dangeureux pour ta vie si tu allais te plaindre, tu aurais du fuir pendant que tu en avais encore l'occassion.

Lui dis-je doucement ne crayant même pas qu'il parte à courir pour prévenir la police. De toute façon le temps qu'ils arrivent j'aurais le temps de fuir... Je m'approcha de ce monsieur à une vitesse asser rapide, je m'arretais juste avant que mon katana puissent lui toucher.

-Alors n'aime tu mieux pas fuir ? Je te laisse encore l'ocassion.

Je le regardait dans ses yeux, une des rares personne à soutenir mon regard aussi longtemps, et à ne pas partir en courant en me voyant arriver sur lui ... Étrange...

-Et, que fais tu à me regarder, tu sais que sa peux être dangeureux pour ta vie si tu allais te plaindre, tu aurais du fuir pendant que tu en avais encore l'occassion.

"OUI!" Exactement ce que je cherchais, elle attaquait, elle ne se défendait pas, sa vie n'avait pas de valeur à ses yeux, c'était évident. Elle fonça sur moi, son katana à la main. Son katana me toucha presque, je souriais. Non pas que j'étais soulagé, je voyais dans ses yeux la même folli que moi, sa rage, sa soif de meurtre.

-Alors n'aime tu mieux pas fuir ? Je te laisse encore l'ocassion.

J'éclatais de rire. "Fuir! Mais qu'elle idée stupide, pourquoi voudrais-je fuir!Fuyait-elle, non! Alors pourquoi le ferais-je...Je me croyais fou, mais elle... elle était sans aucun doute pire que moi!"

-Si je partais à courrir, tu me rattraperais rapidement... je n'ai jamais aimer être la proie dans une chasse, j'aime mieux être le chasseur! Beaucoup plus amusant. À la place, que dirais-tu d'aller boir un verre, je t'aurais bien tuer, mais quand tu as parlé de fuir... tu m'en as enlevé le goût... Je paye pour toi! Il me faut seulment des vêtements! Non, pas que je sois gêné d'être nu, mais pour ne pas être remarqué, c'est pas l'idéal...

Je souriais toujours, cette fille me plaisait bien... du moins, si elle pouvait arrêté de parler de fuir... Je m'approchais du cadavre fraîchement découpé. Une fois habillé, je retournais vers cet femme.

-Quel est ton nom déjà beauté?

Il ria de ma remarque. Ne lui affichant même pas un sourire je lui retourna mon regard.


-Si je partais à courrir, tu me rattraperais rapidement... je n'ai jamais aimer être la proie dans une chasse, j'aime mieux être le chasseur! Beaucoup plus amusant. À la place, que dirais-tu d'aller boir un verre, je t'aurais bien tuer, mais quand tu as parlé de fuir... tu m'en as enlevé le goût... Je paye pour toi! Il me faut seulment des vêtements! Non, pas que je sois gêné d'être nu, mais pour ne pas être remarqué, c'est pas l'idéal...

À chaque phrase j'aquiescais à ce qu'il disait, il semblait avoir la même mentalité que moi... Jusqu'a ce qu'il me parle de me tuer. Là je n'étais pas d'accord, mais il ne sembla même pas stresser d'avoir mon arme a à peine 2 cm de son torse nue. Alors pour la première fois dans ma vie, je pris conscience que je n'était peut-être pas la seule à être différente et à aimer tuer. Il marcha vers mon cadavre pris ces vétements et revint me voir.

-Quel est ton nom déjà beauté?

Je le regardais toujours avec la même expresion... c'est à dire aucune. Je ne trouvais pas cela important qu'un assassin
sache mon nom, or, comme réponse, je lui tourna le dos et sortis de la ruelle, me dirigeant vers le bar.

Elle me tournait le dos, et commençais à marcher vers le bar. J'enfilais rapidement la chemise, poiseuse de sang, et le pantalon. Je m'amusais à goûter le sang sur la chemise en courrant derrière la femme... je voulais connaître son nom! Je la trouvais plutôt jolie, de dos elle semblait plus heureuse que de face. Je me rappelais de son rire quand elle l'avait tuer. Que de délice, si joli, cassant, mais heureux. Un rire qui n'a presque jamais été utilisé. Je souriais de plus belle en la rejoignant.

-Tu ne m'as toujours pas dit ton nom!... Bon disons que je m'en fout!...Tu peux me le dire maintenant, je m'en fout! Bon... tu es gêné, pas de quoi, je ne te ferais pas de mal... bien que te torturer te ferais surment parlé un peu plus de toi... Tête de cochon! Si c'est comme ça... je ne suis plus ton ami!

Je la regardais du coin de l'oeil, aucune réaction...

-Bon, d'accord, je rigole, après tout, une amitié comme la nôtre ne s'arrêterais pas pour un nom! Tu veux bien me dire ton âge alors! Allez ma jolie! Je te dis le mien et tu me dis le tiens... Je me nomme Dracula

Je regardais à nouveaux sa réaction...

-Non, je rigole, mon nom est Alucard... tu saisis, Dracula, mais à l'envers! Si tu veux pas faire la conversation, dit le moi... j'arrêterais de jacasser comme une pie!

J'étais un peu fâché... comment pourais-je apprendre à la connaître avant de la tuer, si elle refusait de parler!!!

Il me rejoignit en vitesse comme si nous étions déja des amis d'enfance :

-Tu ne m'as toujours pas dit ton nom!... Bon disons que je m'en fout!...Tu peux me le dire maintenant, je m'en fout! Bon... tu es gêné, pas de quoi, je ne te ferais pas de mal... bien que te torturer te ferais surment parlé un peu plus de toi... Tête de cochon! Si c'est comme ça... je ne suis plus ton ami!


Mais qu'il est con, c'est qui se goss, et qui à dit que j'étais son ami. Ce n'est pas parce que je le tue pas que je devient obligatoirement son ami. Il ne me laissait même pas penser à une réponse qu'il reparla:

-Bon, d'accord, je rigole, après tout, une amitié comme la nôtre ne s'arrêterais pas pour un nom! Tu veux bien me dire ton âge alors! Allez ma jolie! Je te dis le mien et tu me dis le tiens... Je me nomme Dracula

Mais bordel, qui avait parlé d'amitié ici, j'allai lui enfoncer mon épée dans le crane... quand un malheureux passant passa. Je garda tout de même ma main sur ma gaine, au cas où la situation serait propice à nouveau pour le tuer.

-Non, je rigole, mon nom est Alucard... tu saisis, Dracula, mais à l'envers! Si tu veux pas faire la conversation, dit le moi... j'arrêterais de jacasser comme une pie!

Effectivement s'il pouvait se la fermer sa m'aiderais à me concentrer, car avec lui je n'aurais pas le droit à une deuxieme chance, je devais le tuer sur le coup.
Malheureusement nous étions rendu au bar, j'ouvris la porte et entra. La cacophonie des lieux allait au moins cacher la voix gossante de ce fou. J'étais soulagé... mais il me suivait quand même et c'était trop ... je m'assis au comptoir en l'attendant.

En entrant dans le bar, la musique m'hautai tout goût de vivre. Je changeais de corps, 2 secondes plustard je devenais un homme de 5 pieds et 7 pouces, yeux bleu et profond, barbe mal rasé. Ma voix aussi avait changé, elle était plus profonde, plus grave, comme je me sentais en fait.

-Tu veux une bièrre? Pour moi ça sera un scotch!

Je la regardais se retourner vers moi, surprise par l'inconnu qui se tennait maintenant près d'elle, à la place qu'avais pris Alucard, quelque secondes plutôt. J'en fus ravis!

-Tu as l'aire surprise... tu n'as jamais vu un modificateur?

Il semblerait bien que non... Je commandais au barman mon scotch, ma voix, quelque minutes auparavant surexcité, était maintenant calme et posé, presque silencieuse dans tout ce boucan. Je regardais ce corps, plus gras que le dernier, il avait tout pour être celui d'un buveur.

-Ne sois pas gêné.... je pais, alors bois!...

Je ne savais plus quoi dire, mon scotch choisi se moment pour m'arriver. Le barmaid resta devant moi un moment avant de parlé.

-Monsieur, ça va?

Je regardais la chemise poisseuse de sang, avec une déchirure partant de l'épaule à la hanche. Je refardais le barmaid.

-J'ai l'aire d'aller mal! Juste un foutu raton-laveur que j'ai du égorger... il m'a attaqué et a déchiré ma chemise! Vous-rendez vous comptes... une belle chemise neuve....

Il s'en alla rapidement, me trouvant sans aucun doute dingue.

J'étais assis attendant le monsieur étrange, quand un autre homme vient à ems cotés, j'observa aux alentours pour revoir le premier, il était parti, j'étais supris mais sa me laissais indiférente, un con ou un autre, sa revenait au même...

-Tu as l'aire surprise... tu n'as jamais vu un modificateur?

Oh merde, c'était le même quee tantôt, il avait juste changer de forme... Je soupira, pourquoi ceux qui finissent par m'apprécie sont toujours des monstre... Suis-je si épeurante que sa ?

-Ne sois pas gêné.... je pais, alors bois!...

Je n'avais jamais bu de l'acool étant une fille, je n'allais jamais au bar, sauf pour tuer... Alors je ne pris rien et je déclina l'offre du barman, puis le barman regarda l'homme à mes cotés qui était habillé le linge de ma victime.

-Monsieur, ça va?

Pourquoi il avait l'air de mal allé ? Et puis il sortit une aventure de son imagination qui m'étonna même, cet homme était fou...

-J'ai l'aire d'aller mal! Juste un foutu raton-laveur que j'ai du égorger... il m'a attaqué et a déchiré ma chemise! Vous-rendez vous comptes... une belle chemise neuve....

... Je le regardais et soupirais, il commencait à me plaire, bon j'aurais aimé mieux qu'il dise la vérité, le serveur aurait encore plus capoté, mais bon... Je le regardais boire, avec son corp plus gros que celui d'avant, il était maintenant laid... Et puis tout à coup un homme au fond du bar renversa une table et fonça droit vers un autre homme... Je regardais mon compagnon, lui demandant du regard si je pouvais me meler de cette bataille qui allait bientôt éclater... Je n'attendis même pas sa réponse je me levai et me dirigeai tranquillement vers les 2 hommes qui se battaient. Je ne comptais pas les égorger dans le bar... je comptais les tuer avec mes propres poings...

Un vacarme d'enfer s'éleva du fond du bar, je me retournais, à peine surpris de voir deux hommes sur le point de se battre, une table renversé à leur pieds, des pichets de bière et ce qui avait été leur contenu était étendue ou biser sur le sol. Je lâchais un soupire d'aise, rien ne valait mieux qu'une bagarre de bar pour vous faire appréciez la fraîcheur du soleil de midi! La femme, DONT J'IGNORAIS TOUJOURS LE NOM(faudrait vraiment que je m'y mettes... je ne sais rien d'elle), se leva et se dirigea vers la bagarre. Voilà qui devenait on ne peut plus intéressant! Je me demandais ce qu'elle allait faire. Les tuer, évidement! Mais le comment étais beaucoup plus intéressant!(Note* Penser à aller voir un psychologue, je crois souffrir de trouble d'ordre mental...)

Je me retournais vers le barman, sourire au lèvre.

-Un autre scotch par ici!

Je tournais la tête pour voir le premier des deux hommes s'écrouler lourdement sur le sol. Je partais à rire. Elle avait choisit de les tuer à main nue. Cette femme me donnait des frissons d'excitation. Ça faisait belle lurette que je ne m'étais pas autant amusé! J'attendais toujours mon scotch, mais le barman semblait occupé à... à s'écraser sur le sol à son tour. Ce qui me faisait le plus rire, c'était la petite silhouette qui les couait au sol, et ce définitivement. Je me levais, contournais le bar, regardais les bouteilles. Je trouvais ce que je cherchais, mon scotch! Je prenais 2 bouteilles pleine, les mettais sur le comptoire. Un homme, plutôt costaud, s'approcha, surment était-il un ami du... de ce qui reste du barman.

-Hey... Sort de derrière le bar... c'est à lui!

Il pointait le barman, toujours étendue sur le sol. Je riais au éclat. Je contournais le bar, bras ouvert, toujours souriant, mes deux bébé à la main.

-Du calme l'ami! Si tu voulais le rejoindre fallait aller voir la fille là-bas, moi je suis plutôt du genre à faire souffrire!

Vous auriez du voir son visage! Hilarant! Il vire tout d'abord au rouuge, puis il tramble, on croirait qu'il va exploser. Le balourd fonce sur moi, j'esquive et lui tend la jambe. Il s'étale de tout son long sur le sol. Je dépose mes bébé sur le comptoire et m'assis sur son dos. Je prend ses deux bras et les ramènes vers l'arrière et ce jusqu'à ce que j'entende le bruit, satisfaisant, de ses articulations brisé. Je me retourne sur lui, prend un de ses pieds au niveau de la cheville et tourne d'un coup sec. Son genoux devient difforme. Je ris d'autant plus que l'homme crit comme un défoncé. Je donne un coup de poing sur son articulation défaite, son crit n'en devient que plus... on va laisser sans nom.

Puis il me demande de le lâcher, qu'il a une femme et 2... non il se ravise...3 enfants... il vient de m'enlever le goût de le connaître... si il ne s'était pas trompé sur le nombre de ses enfants au moins... On aurait pu devenir de super ami... mais non, il ne voulait pas être sérieux un taninet avec moi. Je me lève, me retourne et donne un bon coup de pied sur sa nuque. Il arrête soudainement de parler, alors que le bruit des os qui cassent parlait pour lui. Je reprenais mes bébé et attendais madame....

(Note* Oublier la dernière note, ce n'est pas moi le fou, c'est le 3/4 de la population!)

J'arrivai près des hommes, les deux se retournèrent brièvement, pour simplement rire de moi. Ce geste fut leur plus grande erreur. Je me glissa entre les 2 hommes et les poussa chacun de leur coté, les séparant ainsi. Je releva le premier de par terre avec une seul main tandis qu'avec l'autre je le frappa aux visage lui cassant le nez. Je le cloua au mur de quelques autre coup de poings. et puis finalement je le laissa tomber par terre, saignant, mort.

Je me retourna, et le deuxième homme venait à peine de se réveiller de sa chute. Il se releva juste à temps pour que je puisse le frapper dans le ventre et lui couper le souffle, je voyais dans son visage la souffrance, et avant de continuer mon combat, je pris un moment de repos, éclata de rire face à son visage, et lui laissa le temps de se relever et de reprendre son souflle. Il était maintenant face à moi, un colosse de 6 pied. Je n'hésita pas une seconde, avant de le frapper. Après seulement 2 coups, il avait l'épaule en sang. Il se mit à chigner, se mis à genoux et me pris d'arrêter... Je le coucha aux sol d'un coup de genoux au menton, et lui fracassa la tête entre mon pied et le sol. Enlevant mon pied de sa figure, je réalisa que tous l'émotion de cet homme avait été remplacé par le sang qui débordait de son semblant de visage.

Je regarda les autres hommes qui étaient stupéfaits que, moi, ais réussis à finir cette battaille sain et sauf... Je regarda chacun d'eux et à chaque fois que je croisait leur regard, eux le détournait. Puis je retourna au bar tranquillement m'asseoir à coté du jeune homme qui m'accompagnait. Tout le bar avait suivi cette bataille, et était maintenant silencieux face aux évenements qu'une femme est tué deux hommes...

Malheureusement en chemin le barman se mis dans ma route, il essaya de me neutraliser, il se mit devant moi et tenta de me frapper au visage, je me retourna juste asser vite pour avoir le réfléxe de tasser ma tête. Mais bordel, depuis quand un barman tape sur une fille ? Je ne lui laissa pas le temps de répliquer un autre coup, je me déplaca furtivement dans son dos, sorta mon katana de dans mon dos et lui planta dans le millieu du dos, j'étais tanné de me battre et je voulais un peu de repos, mais je le retourna du sol essuyant mon arme sur sa veste blanche, digne d'un barman. J'étais presque rendu au bar, je lanca mon arme sur le comptoir et m'assis à coté de l'homme qui m'accompagnait

Regardant mon compagnon, pour la première fois, d'un air amicale...

-Enfin... le silence

Elle lança son arme sur le comptoire et s'assis sur le tabourent à côté de moi. Elle me regarda et avec un sourire de contentement me dit:

-Enfin... le silence.

J'étais bien d'accord avec elle, rien ne prévalait sur le bienfaisant silence. Les autres clients avait fuit quand elle avait sortit son katana, nous laissant seul dans le bar. Je retournais derrière le bar, trouvait un sac et y fourait quelques bouteille de... je le saurais bien plustard. Je n'étais pas de nature à boir abituellement, mais j'étais en train de me monter un minibar depuis... depuis que j'étais derrière ce bar en fait. Et oui! J'ai une maison! Du moins, un appartement... C'est moins fabuleux, mais ça me va parfaitement!

Je sentais sur moi le sang qui étais sur la chemise en train de coaguler. Je l'hautais et voyant mon corps... ventru, poilu... laid finalement, je décidais de changer. Je me transformais en un homme de taille moyenne, des yeux gris, dans la trentaines, bien musclé et lui ne portait pas la barbe! J'allais voir un des cadavres qui avait le moins saigner et lui prenais sa chemise. Elle m'allait plutôt bien!

-On part... l'ambiance n'est plus ce qu'elle était!

Sac remplie de bouteille à la main, je poussais la porte du bar, me menant sur une rayonnante journée en ville!

Après que l'homme, avec un trou dans le millieu du dos, ait tombé au sol, tousles hommes étaient partit à courir vers la sortie me laissant moi et mon compagnon. Je le regarda, l'air plus morte que jamais.

-On part... l'ambiance n'est plus ce qu'elle était!

Je le suivais, après qu'il ait pris plein de bouteille d'alccol, il quitta les lieux...Il nous ouvra la porte sur la société, sur la belle journée ensoleilé qu'il faisait à l'instant, Je fus découragée. J'aimais pas le solei... sa rendait les genx heureux et j'avais juste plus le goût de les tuer ... Je croisa plein de visage souriant, ma rage augmenta. Et un autre puis un autre... Je me mis à genoux et ma tête dans mes mains, j'essayais de fuir mon envie meurtrière qui m'habitais depuis très longtemps... Je ne réussis par à me contenir, je parti à courir vers le lieu le plus sombre qu'il soit... j'accrocha un passant par la main je le tire avec moi...

- Hey ! Vous faites quoi !!

Ne lui répondant pas je le plaqua sur un mur. Il vis mon regard et commenca à paniquer, je ne voulais pas qu'il parte à se sauver, quelqu'un m'attendait je n'avait pas beaucoup de temp, je le leva du sol avec ma main à son cou, je sortis mon épée et lui marqua un X sur le devant du corp, il ne put crié car il avait manqueé d'air avant que je puisse le faire souffir, je le laisse tomber. Je resta immobile un moment regarda le corp mort et m'agenouilla à coté de lui, des larmes coulaient de mes yeux...

J'aime le soleil, il est la cause de millier de mort.. d'accord, peut-être pas ici, mais ailleur! De plus, c'est la source de la vie, c'est donc grâce à lui que je peux tuer inlassablement des être vivant. Soyons honnête... tuer des roches n'est pas aussi amusant, les cris, les regards paniqué... c'est pas une roche qui fait ça. On marchais en silence, mais depuis quelque secondes déjà, la femme ne semblait pas très... à l'aise. Je la voyais regarder hargneusement les passants. Elle s'écroula soudainement à genoux, tête en main. Elle semblait un peu folle... mais qui suis-je pour juger!

Elle se releva et partit soudainement à courir. Je la suivais, mais d'un pas lent et régulier, pas à ce presser après tout! Vous connaissez la fâble du lièvre et de la tortu... elle est le lièvre, je suis la tortu, peut importe, je serais toujours le gagnant!

Elle prit un homme par la main et le tira avec elle... Pauvre de lui! Sa mort serait éminente. Je me souvenais du pantalon qu'il portait. Il était plutôt jolie, je crois que je lui prendrais... si il était pas trop taché.

- Hey ! Vous faites quoi !!

Surment ses derniers mots... Innutile et innintélligent comme il devait l'être, il avait surment cru bon de dire des mots à son image! Elle l'amena dans une ruelle. Je marchais toujours lentement. Un oiseau passa près de moi, dérangé alors que je passais près de son buissons, il avait pris son envole. Je le regardais un moment, me demandant si je n'avais pas le temps de le rejoindre... malheureusement non... J'arrivais dans la ruelle où elle était entré. Elle était à genoux, près du tas d'ordure sanguignolant qui venait s'ajouté au poubelle.

-Allons ma jolie, ne pleurs pas... Ce n'est pas si grave si tu contrôle pas tes pulsions meurtrière... D'accord, ça peut parfois devenir redondant, mais il y a toujours un peu de plaisir dans le meurtre de sois au travers des autres! Allez lève toi, tu es pas encore morte, alors tu peux encore changer! Comme le dit le dicton, Qui vole un oeuf, vole un boeuf. Ne reste plus qu'à trouver un oeuf et le voler pour avoir un boeuf, après on le laissera partir dans la ville... ça va être hillarant, je te l'assure!

-Allons ma jolie, ne pleurs pas... Ce n'est pas si grave si tu contrôle pas tes pulsions meurtrière... D'accord, ça peut parfois devenir redondant, mais il y a toujours un peu de plaisir dans le meurtre de sois au travers des autres! Allez lève toi, tu es pas encore morte, alors tu peux encore changer! Comme le dit le dicton, Qui vole un oeuf, vole un boeuf. Ne reste plus qu'à trouver un oeuf et le voler pour avoir un boeuf, après on le laissera partir dans la ville... ça va être hillarant, je te l'assure!


Il m'aida à me relever, je ne compris pas trop le lien de ces derniers mots, mais je ne tenta pas de comprendre non plus. Je le regarda, en laissant couler mes larmes sur mes joue. Je le repoussa de mes mains, il tomba par terre. J'en profita pour courrir encore plus profondément dans la ruelle, je fini par déboucher dans un autre rue beaucoup moins passante que l'autre.

Je regardai l'homme dans la ruelle qui ne voulait que m'aider, et que j'avais poussé par terre, puis je tourna le coin en courant. Je ne sais pas trops où je courrais mais je courrais... J'étais proche d'un hopital, je rentrai en courant, criant dans les corridors comme une folle, et puis je m'arretais devant un patient, et je commençais à rire. Je voyais dans son regard la souffrance de ses blessures. La sécurité arrivait. Bordel, je ne trouvais pas sain de tuer dans un hopital, mais je crois que je n'aurais pas le choix...

Je l'aidais à se relever, les larmes coulaient toujours de ses yeux. Elle me poussa, c'était bien la chose à laquel je m'attendais le moins, je tombais. Elle en profita pour fuire. Je partais à rire, un nouveau jeu! Elle tourna le coin de la ruelle et disparut. Je me relevais et partais à courir après elle. Je m'amusais follement aujourd'hui. Je la voyais courir devant moi, elle avait beaucoup d'avance, mais ça ne m'inquiétais pas! Je la vis entrer dans un hôpital! J'adore cette fille... elle est siiiii, spontané! Je riais comme un gamin légèrement fou! J'entrais dans l'hôpital. Je ne la voyais plus, mais je n'avais qu'à suivre son cri. Puis elle se mit à rire. Son rire me fit l'effet d'un coup de masse dans le visage. Qui avait réussi à la faire rire! Pourquoi moi je n'y arrivais pas! J'allais tuer le clown qui avait fait ça! Mon visage devint hargneux. Je la retrouvais enfin, face à un homme. Il était sérieusement blessé, presque mort... j'allais l'achever!

Je lui sautais littéralement dessu, lui assènant des coups de poings au visage, puis dans la gorge, je voulais le tuer, mais la tecnique n'était pas du moment, je voulais d'abord me venger! Il finit par mourir, sa traché écrasé, rendant son visage bouffie. Je me relevais, me tournais vers... je ne connais toujours pas son nom... et lui faisais un sourire, comme si rien ne s'était passé. Peut-être n'avait-elle pas remarqué. Je regardais le cadavre derrière moi, sursautais et me plaçais devant, pour le cacher. Des hommes en uniformes arrivèrent. Je les remerciait presque...

Mais elle les tua plus rapidement que mes lèvres ne bougèrent... Dommage... ça serait pour une prochaine fois les remerciments...

-À quoi joue-t-on maintenant?

Mon ami avait amplifié ma source de plaisir juste avant que les gardes arrivent. Il le fit souffrir comme je n'ai jamais vu un homme souffert, mais bon, fallait règler l'hitoire des 2 gardes. Je fonca sur le premier en avant, en me voyant il failli reculer de terreur, mais il n'eut pas le temp, j'avait déja déplacé ma lame lui tranchant la gorge d'un trait. L'autre tourna de bord et courra dans l'autre sens, pour fuir. Je fus découragé, je me mis à courrir après lui, l'arrêta, le tenant par l'épaule et transperça son corps d'un seul coup d'épée. Je laissais les corps mort, en plus des patients qui criait de peur. Je me retourna vers celui qui, maintenant, avait une place à mes cotés.

-À quoi joue-t-on maintenant?

Oui, je fus d'accord avec lui ce n'était qu'un jeu, fallait que j'arrête de prendre la vie aux sérieux, tuer du monde ne m'a jamais blessé, pourquoi aujourdhui sa me ferais souffrir. Non je devais continuer à tuer c'étais mon destion je n'y pouvais rien.

-Aller viens, dans les hopitals tous le monde souffre déja, on vas aller étendre notre art plus loin.

Je me dirigea tranquillement vers la sortie.

-Aller viens, dans les hopitals tous le monde souffre déja, on vas aller étendre notre art plus loin.

Elle voulait encore tuer! Elle était vraiment insaciable! Je trouvais dommage qu'elle ne connaisse rien d'autre que le meurtre, il y avait tellement de chose amusante que l'on pouvais faire. Il fallait seulment être imaginatif!

-Toi, il faut te changer les idées, tuer c'est bien, mais quand on fais juste ça... ça devient moins amusant. Viens, je vais te montrer comment t'amuser autrement! Et, je suis pas sur de te l'avoir demander, qu'elle est ton nom ma jolie?

Je lui tendais la main, qui ne pouvais pas rêver de faire un tours de rinocéros en pleine ville?

J'étais en soif de sang, en soif de meurtre, mes yeux tremblaient dans leur orbite. Je voulais tuer ! Et puis il m'invita à autre chose :

-Toi, il faut te changer les idées, tuer c'est bien, mais quand on fais juste ça... ça devient moins amusant. Viens, je vais te montrer comment t'amuser autrement! Et, je suis pas sur de te l'avoir demander, qu'elle est ton nom ma jolie?


Mais, je ne voulais pas m'amuser autrement, j'aimais vraiment beaucoup ce que je faisais et j'avais pas besoin de changement. Mais bon, cet homme voulais mon bien, tuer me rendrait juste plus folle, alors je lui accorda ma main pour qu'il me guide dans ses endroits et ses plaisirs à lui. Il était aussi fou que moi, or c'est plaisir devrait me plaire. je ne compta pas lui dire mon nom j'aimais qu'il m'apelle MA jolie, comme si je lui appartenais où que j'étais sa petite fille... Je fit un sourire intérieur. Je le regarda avec son air de fou, je me demandais vraiment où il allait m'amener, et quels pouvaient bien être ses plaisirs. Je le suiva sans demander pour l'instant.

Elle me tendit la main, je la menais à l'extérieure tout en prenant soin de ne pas croiser de garde, je voulais éviter qu'elle tue innutilement.

Une fois dehors, je me dirigeais vers une ruelle où personne n'allait jamais. Je me déshabillais et lui tendais mes vêtements.

-Tiens moi ça, s.v.p, puis monte sur mon dos, c'est nécessaire! Allez... ne sois pas gêné, on va bien s'amuser.

Elle monta enfin sur mon dos. Je ne comprenais pas pourquoi elle pouvait bien être gêné... bon d'accord j'étais nu, mai ce n'était pas la première fois! Et de toute manière, elle n'avait peur de rien, non? Je commençais à me transformer, et je me mettais à quattre pattes. C'était sans aucun doute la plus longue et la plus douleureuse de mes transformations, près de 10 secondes de douleur effroyable. Je me concentrais sur autre chose tandis que mon corps grossissait, que la corne poussait sur mon museau, nouvellement apparut. Finalement, mon corps se stabilisait. Je commençais sans attendre à courir. Direction la rue! J'entrais en colision avec une voiture qui était stationné, je la tassais comme si elle ne pesait rien, d'un coup de corne.

Je riais intérieurement, je courais en plein millieux de la rue, les voitures se tassaient, et celle qui ne le faisaient pas... ehh bien, je les tassais. Je rafolais de ce jeu!

Après avoir monté sur son dos, je me demandais vraiment en quoi être sur le dos d'un homme pourrait me plaire... Puis il se transforma, mais sa forme ne ressemblait pas du tous à un humain mais plutôt à un animal : Un rhinocéros... J'étais maintenant sur le dos d'un rhinocéros, dans une petite ruelle d'une ville de fou.

Je me demandais sérieusement en quoi ceci pourrais m'amuser ... mais je lui laissa un peu de temps pour m'impression. Il se mis à courrir vers la rue. Il défonça une auto, je le trouvais juste stupide...

Peut-être les gens souffrait de voir tous leur auto revoler par dessus les autres, mais ce n'étais pas cette souffrance que j'aimais. Moi... j'aimais la souffrance physique, celle du sang de la guerre, j'aimais le regard des gens quand il réalisait qu'il allait mourrir. Ce moment si délicieux juste avant la mort d'un homme ...

Moment parfait.

Mais voir revoler des autos, et leur propriétaire crier car un rhinocéros cour comme un fou dans une rue ... ne m'amusait pas ...

Alors je me mis debout, et sauta de son dos à par terre... le regardant continuer d'avancer.

Elle avait sauté... je comprenais mal pourquoi elle l'avait fait... ne s'amusait-elle pas? Pourtant, voir le visage de toutes ces personnes était assez amusant,non? J'étais déçu...

Je rentrais dans une ruelle et me retransformais en humain, j'attendais son arrivé, elle portait mes vêtements après tout! Elle apparut rapidement, je me dirigeais vers elle et lui prenais mes vêtements que j'enfilais en vitesse...

-Tu ne t'amusais pas? Pourtant, moi j'aime! Ça fait changement de tuer!

J'arborais un air boudeur... Pas le choix alors... quand vous ne pouvez pas vous faire comprendre, comprenez les autres!

-Bon... si c'est la seul chose qui t'amuse... on va aller tuer... en fait, tu vas tuer, moi je suis tanné... mais si tu place une bonne ambiance, je vais peut-être me joindre à toi!

Je la regardais, elle avait réussi à me fâcher!

-Et vas-tu me dire ton foutus nom à la fin oui!

Je portais encore ces vêtements dans les mains j'attendis qu'il revienne les prendre.

-Tu ne t'amusais pas? Pourtant, moi j'aime! Ça fait changement de tuer!

Je le regardais, bizarement lui il semblait s'amuser. Mais je ne lui avais pas demander de me suivre s'il voulait s'amuser à défoncer des voitures, c'était son choix.

-Bon... si c'est la seul chose qui t'amuse... on va aller tuer... en fait, tu vas tuer, moi je suis tanné... mais si tu place une bonne ambiance, je vais peut-être me joindre à toi!

-Et vas-tu me dire ton foutus nom à la fin oui!

-Heu rectification je ne m'amuse pas à tuer, je m'amuse à faire souffrir et voir le regard des gens, appeurés.

Je pensais à un lieu où il avais beaucoup de monde mais aussi pas trop, sinon sa causerait une panique général, et sa j'aime pas... tous le monde crie et cours dans tous les sens. Je lui demanda du regard s'il connaissait un lieu bien pour tuer. Étrange à dire peut-être mais bon... Il ne sembla pas avoir d'idées non plus alors je me retint pour ne pas tuer, encore aujourdhui.

-Alors, si on ne tue pas et qu'on ne défonce pas d'auto en rhinocéros, on fait quoi ?

Il devait me trouver pénible je refusais de faire ce qu'il me proposait et je lui redemandait de trouver autre chose à faire ...

-Heu rectification je ne m'amuse pas à tuer, je m'amuse à faire souffrir et voir le regard des gens, appeurés.

Pour moi c'était la même chose, après tout, il mourait au bout du compte, alors le pourquoi perdait tout but... surtout qu'il mourait pour notre bon plaisir!

-Alors, si on ne tue pas et qu'on ne défonce pas d'auto en rhinocéros, on fait quoi ?

Alors là je n'avais plus aucune idée! Elle m'avait enlevé tout goût d'être imaginatif... Habituellement j'allais regarder les étoiles de nuit ou je me transformais en chien et je courrais après les voitures, ou je chassais... j'ignorais quoi faire quand on était 2! Surtout qu'elle ne me disait rien d'elle et que la torturer ne me semblait pas amusant...

-J'en ai aucune idée... je suis plutôt du genre solitaire... habituellement je fais des activités de solitaire...

-J'en ai aucune idée... je suis plutôt du genre solitaire... habituellement je fais des activités de solitaire...

Je fut déçu, ses idées débile commençait à ma plaire et il en avait déjà plus. Et j'eux une idées mais je n'étais pas sur si je voulais vraiment la faire. J'y réfléchissa, et me dit que la pire chose qui pourrait m'arriver était de mourrir, alors ce n'était pas grave...

-Mais toi tu as une maison ? Tu me la fait visiter ?

En fait j'espèrais qu'il avait une maison car c'était la seul idée que j'avais trouvé et aussi je commencais à me sentir fatigué... j'aurais bientôt besoin de dormir et un lit est beaucoup plus confortable qu'une ruelle.

Alors je le regarda, on dirait qu'il hésitait, comme si il ne voulait pas que je le sache... Peut-être parce qu'il ne connaissait pas encore mon nom ... Mais bon... J'attendais impatiemment une réponse.