Mon petit plaisir à moi... ::::::::PV Alucard Limburg::::::::

-Mais toi tu as une maison ? Tu me la fait visiter ?

Je fus véritablement surpris, chose assez rare, mais qui était loin de me déplaire. Devais-je l'apporter chez moi... après tout, c'était chez moi, c'était mon appartement, mon territoire! Mais ça ferait changement... et je n'avais pas peur qu'elle me tue...

-Oui, j'ai un appartement! C'est d'accord, tu peux venir chez moi... mais je vois pas en quoi ça serait amusant! Viens!

Je me retournais vers l'autre côté de la ruelle et me dirigeais vers la rue. J'ignorais où j'étais, je regardais donc les nom des rues pour me repérer. Ce ne fut pas long, j'étais assez près de chez moi, on pouvait y aller à pied. Je n'attendais pas après la demoiselle (elle ne m'avait toujours pas dit son foutu nom!), c'était à elle de me ratraper, non? En moins de deux, on se retrouvait devant un bloc appartement haut de 2 étages. J'avais pris l'appartement le plus spacieux que j'avais trouvé, un 4 pièce et demie, bien qu'un 3 pièces m'aurait suffit. J'avais donc remplie une pièce d'annimaux de toutes sortes. Je lui faisait rapidement visité.

-Cuisine, salon, chambre, toilette et annimalerie. Fais comme chez toi!
J'étais assez heureux, c'était la première fois que quelqu'un entre dans mon appartement, même le proprio ne s'y risquait plus.

-Oui, j'ai un appartement! C'est d'accord, tu peux venir chez moi... mais je vois pas en quoi ça serait amusant! Viens!

Il partit vers une rue, puis sembla regarder quelque chose, je le rejoignit rapidement. Il commenca à marcher vers, ce que j'imagina sa maison. On arrêta devant un bloc appartement. Il me conduisit à l'intérieur et me fis une brève description des salles présentes. Je m'étonna de son animalerie, mais bon il avait besoin de forme pour se transformer. Ausitôt qu'il eut terminé sa présentation :

-En fait, j'ai faim... tu m'invite au restaurant ?
J'esperais qu'il dise oui j'avais vraiment faim... Je le regardais d'un air spécial, grace à lui je commencait à percevoir des émotions à partir de mon coeur mort auparavant.

-Et, en passant m'apelle Egna... Egna Dsynt

-En fait, j'ai faim... tu m'invite au restaurant ?

L'inviter au restaurant!... Mais pourquoi... la dernière fois que je l'avais inviter quelque part, ça avait viré en tueri... rien de désagréable, mais c'était assez pour moi... pour l'instant. Malgré tout, elle semblait affamé...

-Et, en passant m'apelle Egna... Egna Dsynt.

Nom plutôt inhabituelle, mais comme si je pouvais ne pas aimer les choses inhabituelle. Mais j'étais heureux qu'elle me l'ait enfin dit! Elle me faisait confiance... on pourrait enfin parler... parler de quoi, je l'ignore, mais parlé!

-D'accord, mais tu dois me promettre de ne pas tuer ce soir! Dans quel restaurant voudrais-tu aller manger?

Personnellement, j'aurais envie d'insect, mais je ne crois pas que c'était partagé!

-D'accord, mais tu dois me promettre de ne pas tuer ce soir! Dans quel restaurant voudrais-tu aller manger?

-Te promettre est un peu trop, mais je peux te promettre que j'essayerais de ne pas tuer. Et pour le choix du restaurant sa m'importe peux, ma seul restriction est qu'il y a de la nourritue commune à tous les mortels.

Je le regarda lui offrant ma main pour qu'il la prenne et qu'il m'enmene dans le restaurant de son choix. Je lui faisait déja plus confiance qu'au tous début, je me méfiait quand même, car mon père, de qui je n'étais plus sur si je devais me rapeller de ses paroles, me disait toujours: Ait confiance qu'en toi ma belle, tu es la seul à ne pas pouvoir te tromper.

Mais maintenant j'étais devenu un monstre, et même moi controllais plus mes instincts. Même moi je pouvait me trahir...

-Te promettre est un peu trop, mais je peux te promettre que j'essayerais de ne pas tuer. Et pour le choix du restaurant sa m'importe peux, ma seul restriction est qu'il y a de la nourritue commune à tous les mortels.

Elle m'offrit la main. J'ai beau aimer les femmes qui savent ce qu'elles veulent, quand elles veulent vider mon porte feuilles... c'est moins génial. Je la trouvais un peu contrôlante, mais bon, je ferais avec! Je lui prenais la main et l'entraînai hors de mon appartement. Je ne prenais pas le temps de fermer à clé, personne viendrait voler au deuxièmes étage! J'avais une idée de restaurant, que l'on ne dise jamais que je suis un avare, c'est sans aucun doute, le meilleur restaurant, mais malheureusement le plus chers, de la ville. J'adorais y aller, tout le monde était habillé chic, et vous, vous êtes là avec des vêtements quotidien!

-Tu vas adorer ce restaurant là, il est excellent et très nourissant!

Je la forçais maintenant à courrir derrière moi, je voulais être là avant que la salle soit comble, et ainsi éviter qu'elle soit tanter de faire de la place... Je ne sentais pas l'épuisement, en fait, je me sentais très bien, j'aimais courrir! L'entrée fut bientôt devant nous. J'entrais, tenant Egna par le bras. Je la tirais vers le "major d'homme".

-Une table pour 2!

Il me regarda avec dédain, j'avais envie de lui rire à la figure et peut-être de la lui arracher! Il nous mena tout de même à une table, sûrment la moins bonne, mais je m'en foutais. Les menus furent apporté et je commençais à choisir, je pris tout mon temps. Finalement, je déposais le menu, quelques minutes plutard, une serveuse vint à nous.

-Puis-je prendre votre commande!

-Oui, pour moi ce sera, une poutine!

Je regardais son visage, je savais très bien qu'il n'avait pas de poutine au menu, mais c'était justement ça qui rendait la chose amusante!

Il pris ma main et me sortit de son appartement, il se mit à courrir je le suivi sans trop de prblèmes.

-Tu vas adorer ce restaurant là, il est excellent et très nourissant!

Nous arrivions devant un immeuble qui pouvait ressmble à un restaurant il me fit entrer. Tout le monde était habillé chic, et le restaurant était magnifique. Je ne me sentis pas une seconde que j'étais pas aux bon endroits. Même si tous le monde nous dévisageait.

-Une table pour 2!

Il nous regarda pire que tous les autres, comme s'il croyait que nous étions rentré pour ressortir sans manger. Il nous fit signe de le suivre. Il nous assit à une table qui me semblait éloigné de tous, je ne me plaignait pas. Il nous donna les menus. Je ne savait pas quoi prendre...

-Puis-je prendre votre commande!

-Oui, pour moi ce sera, une poutine!

Le serveur semblait désemparé, je me dis que je ne devais peut-être pas répondre tout suite à ce que je vuolais je regardait l'homme qui m'accompagnait, lui fis un sourire, puis regarda le serveur tout confus. Je décida de jouer un peu avec lui.

Je me leva brusquement, lui gueulant après parce qu'il n'avait pas de poutine j'insultais le restaurant, le serveur, je jetta mon menu par terre. Puis respira, et me rassis

-Pour moi, ce sera votre salade du jour

Le serveur était tout débalancé, moi je riais. J'avais attiré l'attention, tous les gens riche dans le restaurant fut insulté. J'affichai alors un plus grand sourire. Je regardais chacune des tables, qui eux depuis tantôt m'affichait un regard de dégoût.

Mais quoi, dans un resto riche on as plus le droit de s'affirmer ?

Le serveur partit en nous disant qu'il allait revenir rapidement. Je regardai alors Alucard. Lui il s'amusait bien à rire des gens, pourquoi je ne pouvais m'amuser à ma façon.

Je le trouvais injuste...

Puis je le laissais seul sous-prétexte que je devais aller au toilette. Je me levis et m'en alla en direction de ceux-ci.

Elle se levais brusquement et commençais à engueuler la serveuse comme du poisson pourie pour l'absence de poutine dans leur menu! Elle se rassit, tranquille et fit sa commande d'une voix qui ne laissait rien paraître de sa soudaine colère.

-Pour moi, ce sera votre salade du jour

J'éclatais de rire, les gens qui nous regardaient détournèrent les yeux tellement je faisais peur en riant comme ça! Et moi, j'en riais encore plus, plus fort et plus fou! Egna aussi semblait s'amuser! J'en étais heureux! Son brusque changement de caractère aussi me rendait heureux, après tout, je pouvais maintenant parlé avec quelqu'un plutôt qu'avec une lionne! Une lionne qui tuait, mais qui ne grognais même pas!

Elle me sortit un prétexte bidon, elle devait aller au toilette, pour aller tuer! Je n'y croyais pas une seconde,et ce, même quand elle allait vers celle-ci. Je l'aurais trouvé crédible si elle aurait entré dans le corridor des toilettes des femmes, mais celui des hommes me détrompait un peu! Je riais encore plus, après tout, si on pouvait manger avant de devoir fuir, je m'en foutais royalement! Je demandais à une serveuse qui passait, un verre d'eau, coupé avec du cognac. Elle me regardait comme si j'étais un morceaux de viande et elle un végétarienne, avec dégoût! Je lui lançais un fabuleux sourire, avec un magnifique doigt d'honneur!

Je me dirigeai vers les toilettes, et chaque table que je passais je sentais le regard des gens se retourner vers moi. À la dernière table, j'arretais de marcher sec je me retourna vers l'homme de cette table et le regarda dans ses yeux. Il était effrayé, j'aimais son regard. Je me plaisais à le regarder quand l'homme se leva, et me demanda :

-Mais voyons chère dame arrêter de me regarder, comme sa...

Je me forca énormément apres cette réplique pour ne pas le couper en morceaux devant ces chères filles, qui étaitent assis à la table. Je passais mon chemin, sans lui faire saigner un petit peu, pour ne pas décontenencer Alucard.
Après cette mésaventure qui aurait pus couter la vie à ce cher homme, et mon expulsion de ce restaurant je retournais m'asseoir. Je trouvais le service vraiment long, je me plaignais a Alu et lui demanda si je pouvais aller chercher mon assiette moi-même.

Je me levais de mon siège. Elle avait raison!! Je venais de m'en rendre compte. Pourquoi donc s'empêcher d'être nous même? Pourquoi s'empêcher de tuer si j'en avais le goût! J'allais à mon tour vers les toilettes et entrais dans les toilettes. J'hautais tout mes vêtements et commençais à me transformer. Bientôt, plutôt qu'un homme grand et fort, se dressait sur ses quatre pattes, un ours. Je défonçais la porte, qui me retenais sur moi même. La porte ne fut pas un problême pour la grosse créature que j'étais. Elle s'écroula comme des légos devant un enfant récalcitrant. J'entrais dans la salle principal avec la ferme intention de tuer. Je lâchais un grognement, un cri de rage, qui ne passait pas innaperçu. Je fonçais sur quelqu'un et lui donnait un coup de pattes, puis je me dirigeais vers un autre, je lui prenais la tête dans ma gueule et je la lui éclatais. Je passait mon temps à les tuer, jusqu'à ce qu'il soit tous sorti, ou mort.

Sans me répondre il patit au toilette, je fut instultée, mais je n'eux pas à attendre longtemps pour avoir une réponse, j'entendit une porte se faire défoncé et puis des cris, je ne porta même pas un regard sur la cause de ces cris. La panique étais pris, et moi j'aimais sa. Je sortit mon katana et me mis à la fête aussi, je tua premièrement l'homme qui m'avait demandé pourquoi je le regardait ainsi, quelque minutes auparavant, puis toute sa famille. Puis continua avec quelques inconnus jusqu'à ce qu'il n'aille plus un soufle humain dans la pièce, soit par cause de fuite, soit par cause de mort.

Après cette tuerie très divertissante, je regarda l'homme qui était maintenant ours,

-Maintenant je peux aller me laver chez toi, j'aime pas puez le sang sec.

Je lui fis un sourire.

Je rangeai mon katana puis sortit dehors prendre l'air ... car la pièce allait bientot commencer à puer l'humain mort. J'attendis mon ami voir s'il sortait en ours pour continuer sa tuerie ou s'il en avait asser pour aujourdhui.

-Maintenant je peux aller me laver chez toi, j'aime pas puez le sang sec.

Elle avait raison, l'odeur était affreuse, bien que le goût un peu moins. Je me transformais donc en chien et me dirigeais vers mon amie. Je me frottais sur sa jambe, la langue à la vue de tous. Puis je marchais avec elle vers mon appartement. Beaucoup de personne nous avait vu. Une femme pleine de sang avec un katana et un chien dont les griffes et le museau est plein de sang... ça ne passe pas innaperçu on dirait... Je me rendis compte que l'on avait toujours pas manger. Je me retrasformais donc en humain, j'aimais bien la forme que j'avais pris auparavant. J'ouvrais le frigidaire.

-Tu peux aller te laver, je vais préparer quelque chose à manger!

Je sortais les ingrédients dont j'avais besoin. Fritte, fromage, sauce et de la salade! Je n'avais toujours pas abandonner mon idée de poutine... et je voulais lui faire plaisir avec sa salade. Je riais à cette pensée... une tueuse qui mange de la salade!

Rendu chez lui il m'indiqua ou je pourrais me laver, et il me dit alors qu'il allait préparer le souper, durant ce temps. Je me déshabilla et rentra dans la douche. je me lava rapidement et alla rejoindre Alucard dans la cuisine, et je le regarda faire à manger. Mangea de dans à autre des frites. Je pris ma salade et la mangea j'étais ravie, elle était très bonne, pas autant qu'un cri de douleur d'un enfant qui viens de voir sa mère se faire égorger et qu'il vient de comprendre qu'il va mourrir aussi, mais elle était bonne. Je le regarda manger sa poutine il semblait se régaler. J'avais fini ma salade que je me coucha sur le comptoir fatigué.

Ma poutine fut suculente, meilleur que celle que l'on trouvait au restaurant, rien d'anormal, j'avais mis plus de fromage que l'on pouvait en rêver! J'adore le fromage! Le pain aussi, j'aime bien les insects d'ailleur, je les trouves croustillants! Mais bon, vous en parlez est innutil. Je la regardais manger sa salade avec contentement, je m'étonnais encore de ses goûts plutôt étonnant, je m'aurais attendu à une mangeuse de viande ou à un truc du genre... mais bon, qui suis-je pour juger.

Elle se coucha soudain sur le comptoire. Je m'étonnais vraiment de son comportement, mais jamais je ne m'en serais plaint, en fait, je l'aimais bien. Je finis à mon tour de manger. Je me levais, allais porter ma vaiselle sale dans l'évier.

-Tu sais, j'ai un lit, tu peux aller t'y coucher... sinon il y a aussi le divan... Ah moins que tu préfère que je t'apporte une couverture et un oreiller pour que tu puisse dormir sur le comptoire?

J'utilisa le dernier effort qu'il me restait pour me lever et m'appuyer sur lui ensuite lui murmurer qu'un lit serait apprécié, et je me laissais guider par ces mouvement, endormie.

Dans mes rêves, je revoyait chaque visage de chaque victime que j'avais tué jusqu'à maintenant, en faite, c'étais comme cela à chaque nuit. J'étais habituée. Je sentis que mon corps se fit déposer sur une objet très doux, puis plus rien.

Je dormais paisiblement

Puis je me réveilla et nous étions le lendemain matin... sa me pris un petit moment pour réaliser où j'étais puis je me leva tranquillement et me dirigea vers la cuisine.

Elle se leva péniblement de mon comptoire et vint s'appuyer sur mon épaule. Elle murmura plus qu'elle ne dit qu'un lit serait bien. Je l'amenais vers ma chambre, dont la porte était ouverte. Je l'étendis sur le lit, peu après avoir tassé les cuvertures. Elle s'y couchait et je l'habrillais innutilement, elle dormait déjà. Je me demandais comment une femme aussi sinistre pouvait ressembler à une ange quand elle dormait. C'est une chose qui m'avait toujours faciner, la beauté et la sérénité qui se dégageait d'une personne qui dort. Je lui caressais le visage, attendrie par le sourire en coin qui s'était déssiné sur celui-ci. Je sortais de la chambre, la laissant dormir. Silencieusement, je me déplaçais vers ce que j'appelais mon annimalerie. J'y entrais, j'adorais l'odeur qui vous acceuillait en entrant dans cette pièce.

J'allais de vivarium en cage, caressant et nourissant mes petits compagnon. Je passais près d'une heure avec eux, puis, me rendant compte que j'étais encore tacher de sang, je me rendais dans la douche pour y prendre... eh bien, une douche! Une fois lavé, je retournais dans ma chambre et me couchait près d'Egna. Le sommeil me prit rapidement, m'apportant faire de fabuleux rêve de lapin au yeux laser et de bétrave magique.

Je me réveillais avant elle, et je sortais sur le balcon, torse nu, seulment habillé de boxer. Je m'étirais devant le soleil levant, appréciant ses doux rayons sur ma peau. Les nuages matinaux prirent une teinte rosâtre et orangé, m'offrant un spectacle devant lequel je m'émerveillais toujours. J'entendis du bruit derrière moi, je me retournais pour voir Egna dans la cuisine. J'allais la rejoindre.

-Déjeuner? Télévision? Que veux-tu faire?

J'écoutais le silence matinale, je fis un sourire. C'est bien la seul autre chose qui me fesait sourire que de tuer: le silence. Puis j'entendis une voix...

-Déjeuner? Télévision? Que veux-tu faire?

Je me retourna rapidement et m'approcha de lui, presque en courant, je le poussa sur son lit, lui tombant dessus, mettant un doigts sur ses lèvres...

-Chuuut !

Je lui fis un petit sourire, avant de me pousser de par dessus lui... je m'avancais tranquilement vers la cuisine, en silence. Je contempla la pièce où j'étais. Je contempla le silence. Et puis le regarda.

Elle me plaqua. Il n'y a pas d'autre mots pour décrire ce qu'elle fit. Elle prit son élang, me fonça droit dessue et me plaqua littéralement sur mon lit, me coupant le souffle. Je ne suis pas une petites nature, loin de là, je suis plutôt un caphare, très résistant. Mais cette fille en avait la force de 10, c'en était presque éffrayant. Elle me mit un doigt sur les lèvres et fit.

-Chuuut !

Elle voulait donc le silence! Je partais à rire mentalement, d'un rire, non pas démoniaque... je dirais plutôt d'un rire maniaque mental. C'est plus jolie! Elle débarqua de moi, je ne sentais presque pas la différence, elle ne pesait pas plus qu'une plume, sourire au lèvre, puis elle retourna dans la cuisine, pour écouter ce qu'elle semblait tant protêgé, le silence! Elle se retourna enfin vers moi, j'avais eu le temps de reprendre souffle et je commençais à me changer. Quoi! Il faut bien changer de vêtements parfois! Pas de ma faute si elle me regarde faire! J'enfilais de nouveau sous-vêtement, un t-shirt et des shirts. Je me retournais vers elle.

-Veux-tu du linge pour te changer? J'en ai plein dans mon garde-robe, autant homme que femme!

Oui... j'ai une garde-robe.. et alors, ça change quoi?! J'en sortais une robe noir et je la tendais à mon amie.

Je regardais le silence vide de cette pièce, je l'admirais. Je ne bougeais pas, au millieu de cette pièce. Je vis l'homme en train de se changer, je me retourna immédiatement, pas que je ne voulais pas le voir, mais tous simplement, pas comme sa, pas là. Je me dirigea vers la porte pour sortir quand il m'interpella :

-Veux-tu du linge pour te changer? J'en ai plein dans mon garde-robe, autant homme que femme!

Je me retourna... et puis pour ne pas rebriser le silence qui régna, je ne fis que lui tourner le dos et sortis de la pièce.

Le soleil étais merveilleux aujourdhui, malheureusement. J'attendis mon ami avant de continuer... mais il n'arriva pas, je décida alors, de continuer mon chemin vers nul part, en quête de je ne sais quoi ... Aujourdhui je me sentais de bonne humeur ... c'est jamais bon signe quand je suis heureuse ...