C'est la vie,que veux-tu....(P.V Parker)

Messages : 14 Date d'inscription : 05/03/2010

J'avais besoin de me remettre en question.Qui étais-je en ce monde et où j'avais envie d'être,qu'est ce que j'ai envie de réaliser etc... Bref rien de bien bien plus particulier,seulement des question ordinaire,pour une fille moche et ordinaire.Je ne sais pas quoi faire et quoi penser.Je décidais donc de prendre une petite marcher et de me rendre au parc proche de la maison,il y avait de jolies fleurs et je pouvais m'asseoir et les regarder pendant des heures et personne ne disait rien,il étaient maintenant habitué de me voir assise à cet endroit.Je venais souvent à cet endroit dans le but de trouver ce petit quelque chose qui permettrait de remettre le feu qui faisait en sorte que je me levais le matin...c'était avant.....

Qu'est-ce que je pouvais bien faire pour changer mon train-train quotidien.Je pourrais me trouver un emploi,oui mais quoi?? Là était la question,il y avait tant de possibilité, peut-être pourrais-je sortir beaucoup plus et essayer de trouver un copain...nan trop de travail,faire durer le couple après...Je pourrais me faires des amis...mais resteraient-ils auprès de moi lorsqu'ils découvriront mon sale caractère,sa reste à savoir et comme je déteste la défaite,j'aime mieux ne pas essayer pour rien...
Je restais donc a réfléchir sur mon banc a regarder les fleurs blanches quand je le vis à l'entrée du parc....

Je voyais mal au loin,je ne pourrais vous dire si il était grand ou quoi d'autre qui le caractérisait,la seule chose que je savais c'est que c'était un homme,mais j'avais de la difficulté à voir s'il était grand,costaud ou pas....Mais il dégageait un petit quelque chose de mystérieux,j'aivais envie qu'il vienne me voir moi....C'est ce qu'il fit....Mon coeur battait de plus en plus vite...

J'avais eu une grosse chicane avec le propriétaire de l'hôtel. Ça m'avait secoué, bien que je déteste l'avouer et j'avais décidé de prendre un petit moment. Non loin de mon gigantesque appartement, il y avait un joli petit parc, où on pouvait voir les plus belles fleurs blanches. J'ai beau ne pas aimer la paix et la tranquillité, je savais reconnaître la beauté quand je la voyais.

Bon. Je vais être honnête. Ça, c'était la raison pour ma première visite. Maintenant, le motif n'avait plus rien à voir avec un malentendu avec mon supérieur.

Je parlais de beauté tout à l'heure. Je sais la reconnaître. Habituellement, cependant, je me contente de filles superficielles, plutôt idiotes, mais qui pourraient satisfaire mes besoins pour une nuit. Mais là... C'était différent. Je l'observais de loin, presque gêné de l'approcher, moi, l'homme qui savait lire les pensées et qui n'avait peur de rien. Moi, l'homme qui avait dû coucher avec la moitié des femmes de cette ville, approximativement. Moi, Parker McFear, sans peur et sans reproches, ne savait pas comment aborder une jeune femme pourtant bien ordinaire et sans pouvoirs.

Je ne savais pas ce qui m'arrivait. Quand les femmes qui me plaisaient de ne me voyaient pas, ou que je sentais que ça ne marcherait pas, je laissais tomber et je passais sans tristesse à la suivante. Mais là... Incapable. Chaque jour, mes pas me guidaient à ce petit parc aux fleurs blanches pour tenter de revoir cette jeune inconnue.

J'avais presque l'impression de la connaître. À force de suivre ses réflexions, ses pensées, je ne comprenais toujours pas comment elle réfléchissait et comment son esprit fonctionnait. J'étais impressionné par son intelligence et sa vivacité d'esprit. Le rouage de son esprit demeurait encore, après plusieurs jours d'observation, un total mystère pour moi.

Au fond, cette fille m'énervait tout autant qu'elle me plaisait.

Et puis, l'incroyable se produisit. J'avais pour habitude de m'accoter à une colonne à l'entrée du parc, pour être tranquille et suivre les pensées de la jeune femme en silence. Je commençais à connaître ses habitudes... L'heure à laquelle elle arrivait au parc, l'heure à laquelle elle repartait, la place où elle s'installait, les sujets auxquels elle pensait et qui la tracassait le plus... Malheureusement, ce jour-là, j'étais ... caché, en vérité, quand un cycliste assez imprudent osa passer très près de moi, à tel point que je perdis l'équilibre et faillit tomber sur le sol. Je me redressai en vitesse, tout en enlevant la poussière qui s'était posée sur mon habit noir, quand je compris qu'elle m'avait vu.

J'eus un instant de panique, ne sachant pas quoi dire si elle venait me parler. Et ce, même si je réfléchissais depuis plus d'une semaine à la meilleure manière de l'aborder.

Mais, lorsqu'elle souhaita que je me dirige vers elle, je me sentis obligé de le faire. Comme une sorte d'attraction plus puissante que les mots. Comme si quelque chose me rattachait à elle, me liait. Je n'étais même pas conscient des autres filles que je dépassais et qui me regardaient avec une envie visible. Même celles accompagnées fondaient sous mon charme. Mais je ne voyais rien... Mes yeux étaient fixés sur les traits doux, mais incroyablement beaux de la jeune inconnue devant moi.

Et dire qu'elle se pensait moche ? Ne pouvait-elle pas voir toute la beauté qu'elle portait dans sa simplicité ? Ne pouvait-elle pas se rendre compte d'à quel point elle était attirante pour moi, un démon, un homme sans âme ? Moi, un homme qui ne pourrait jamais mériter l'attention d'une fille si pure et si vibrante de vie qu'elle ?

Finalement, je fus à quelques pas d'elle, sentant mon pouls s'accélérer, légèrement surpris par cette manifestation physique. Habituellement, c'était autre chose qui se manifestait en présence d'une belle fille. Mais cette femme n'était pas jolie. Non, pas du tout. Elle aurait, au contraire, pu rivaliser avec les plus grands mannequins de la Terre !

"Bonjour," dis-je à la jeune fille en lui tendant la main. "J-je suis McFear, Parker McFear. Je... Je euh..."

QUOI ?! Moi, hésiter devant une fille ?! Jamais ! Vite... Je devais trouver quelque chose de plutôt intelligent à sortir...

"Dites, miss... Je peux m'asseoir à vos côtés ?"

Et voilà où j'étais, debout devant cette jeune femme qui semblait banale aux yeux de tous, de tous les autres personnes de ce parc. Mais par pour moi. Car moi, j'avais accès à ses secrets les plus sombres, à ses rêves les plus fous et à ses envies les plus fortes. J'étais sans doute le seul à savoir qui elle était vraiment, à savoir que cette banalité n'était qu'une apparence. Qu'elle était plus... Bien, bien plus ! Qu'elle n'avait rien de banal...

Je compris ce jour-là que le don de lire les pensées, qui m'avait toujours semblé comme ma plus grande force, était en vérité devenu toute une faiblesse. Car à cause de ce don, j'avais découvert les méandres d'une émotion complexe et totalement détestée par quelqu'un dans mon genre, parce qu'elle nous poussait à faire des choses incroyablement insensée et irréfléchie. Ce qui était loin d'être pratique pour un homme comme moi, qui se flattait de n'avoir aucune attache, aucune personne qu'on pouvait blesser pour me faire du mal à travers elle.

Voilà pourquoi je détestais cette femme tout autant qu'elle m'attirait. Parce qu'elle était devenue une faiblesse... Une maudite grosse faiblesse !

[Heu... J'étais légèrement inspirée. Si tu n'aimes pas, dis-le et j'arrangerai ! xD]

Messages : 14 Date d'inscription : 05/03/2010

On dirait qu'un ange avait entendu mes prières,l'inconnu s'approcha de moi lentement,mais surement,comme s'il avait peur de ma future réaction.

"Bonjour," me dit-il en me tendant la main gentiment . "J-je suis McFear, Parker McFear. Je... Je euh..."

Et en plus il est bégaillait.Je laissais échapper un tout petit,tout petit rire admiratif devant son courage.Je ne sus trop comment expliquer ce goût que j'avais pour les hommes plutôt timides,mais je ne détestais pas qu'il soit gêné...J'avais l'impression que j'étais un peu plus que seulement oridinaire.

"Dites, miss... Je peux m'asseoir à vos côtés ?"

Et voilà que c'est au tour de l'orgeuil masculin de prendre le dessus sur notre bel Apollon.Je riais profondément,je trouvais que le sarcasme était une belle façon de cacher ce que je pouvais bien ressentir.Mais il ne faut pas se le cacher,c'est qu'il n'étais pas laid ce jeune incconu.Il portait un joli ensemble noir qui lui allait comme un gant.Il avait un regard sensuel et bien plus encore,mais je devais effacer toutes ces pensées,je n'étais tout d'abord venu pour lui...

-Et bien,oui vous pouvez vous asseoir a mes côtés,C'est bien la première fois que l'on veut bien s'y risquer...

Encore cette fois je laissais échappée ce tout petit rire crytallin et nerveux,comme je le détestais.Et ici je parle aussi bien le rire que cet homme,autant pouvait-il m'attrirer autan je pouvais le détester, je ne sais pas trop comment expliquer cela,mais jamais je ne me laissais approcher par personne.Il me faisait retrouver le sourire,celui que javais perdu depuis si longtemps mais de savoir,que peut-être un jour je le reperdrai,je n'étais pas capable de me faire à cette idée et je n'avais pas envie de retomber tout comme je l'avais fait il y a plus de 5 ans...

-Puis-je connaître la raison de votre venue a mes côtes My Sir McFear??

Elle m'invita à m'asseoir et c'est avec une confiance retrouvée que je le fis. Je suivis le cours de ses pensées en observant son visage aux traits fins. Elle avait émis un petit rire crystallin qu'elle détestait apparemment, mais que j'adorais. Il sonnait vrai et naturel. Comme une douce musique à mes oreilles.

"Puis-je connaître la raison de votre venue a mes côtes My Sir McFear ?"

J'eus un petit éclat de rire en l'entendant m'appeler "sir". J'aimais appeler les femmes "miss" et j'avais remarqué que souvent, ça les attirait. Elles aimaient ça. Et moi, j'aimais plaire aux femmes. Habituellement, les femmes souriaient poliment et m'appelaient Parker ou tout simplement Mr McFear. Mais cette femme avait "embarqué" dans mon jeu en m'appelant "my sir" et ça me faisait plaisir. Cependant, je crois que j'aurais préféré qu'elle m'appelle par mon prénom, Parker. Je suis certain que le nom aurait glissé différement sur ses lèvres que sur celles des autres femmes que je connaissais.

"La raison est bien simple, miss, pour que je sois venu m'installer à vos côtés. Vous me sembliez si seule sur votre banc... Je me suis dit qu'un peu de compagnie vous ferait sans doute plaisir..."

Je lui adressai un grand sourire, alors que je plongeai mon regard dans le sien. Étrangement, mon impression de manque de contrôle semblait avoir disparu et je me sentais beaucoup plus en confiance désormais.

"Mais je vous en prie, miss, de m'appeler Parker. Rien ne me ferait plus plaisir. Mais quant à vous... Puis-je avoir le bonheur de savoir votre prénom, miss..."

Messages : 14 Date d'inscription : 05/03/2010

Je le regardais toujours dans les yeux,comme si ceux ils étaient prisonnier d'une sorte de sort quelconque. Lui aussi laissa échapper un tout petit rire après ma remarque, il était aussi beau et parfait que l'homme qui le laissait échapper.

La raison est bien simple, miss, pour que je sois venu m'installer à vos côtés. Vous me sembliez si seule sur votre banc... Je me suis dit qu'un peu de compagnie vous ferait sans doute plaisir..."

Il me sortit un énorme sourire enchanteur,celui qui vous fait fondre sur place. Je ne sais pas pourquoi,mais mon coeur accéléra un peu et je sentis le rose monter sur mes joues.Pourquoi un tel importement,je ne voulais jamais que mes émotions parraissent,je crois malheureusement que c'était ratté.Mais si la petite Serena ressentait des émotions, il en était hors de question. Le pire dans cette situation,c'est que cela ne me déplaisait point, je ne détestais opas,mais en même temps sa me mettait dans tout mes états...

"Mais je vous en prie, miss, de m'appeler Parker. Rien ne me ferait plus plaisir. Mais quant à vous... Puis-je avoir le bonheur de savoir votre prénom, miss..."

Et voilà que j'étais prise dans mon propre piège,je me devais de répondre au jeune homme assis à mes côtés.J'étais convaincue que ce coup-ci c'est moi qui allait bégailler...Mon couer accéléra encore plus...

-Je me prénomme Serena Basinio,rien de plus,pour être bien franche avec vous n'aurais pas plus amples informations à vous donnez puisse que ma vie se résume a ce parc,la fin de mes études ainsi qu'à mon appartement...

J'espérai qu'il veuille rester au près de moi,parxce qu'à chaque fois que je balançais ces infos la personne finissait toujours par me quitter et tout était a recommencer,mais je sentais aussi que j'vais besoin de PArker,je ne voulais pas qu'il sen aille,je voulais qu'il reste auprès de moi aussi longtemps que j'existerai même si cela était impossible.

"Je me prénomme Serena Basinio, rien de plus, pour être bien franche avec vous. Je n'ai pas plus amples informations à vous donnez puisque ma vie se résume à ce parc, la fin de mes études ainsi qu'à mon appartement..."

Je la regardai pendant un moment sans rien dire. Une pensée me traversa brusquement et rien ne vint la contredire. Cette Serena Basinio était stupide.

Réellement stupide.

Ne voyait-elle pas à quel point elle était un être complexe ? Un être magnifique, doué de sentiments, d'émotions... Pourvu d'une intelligence bien plus grande qu'elle ne le laissait paraître. Ne se rendait-elle pas compte que toutes devraient lui ressembler ? Que si elles n'avaient qu'un centième d'elle, de sa personnalité, toutes les femmes de la Terre se rapprocheraient de la perfection ? Ne voyait-elle pas ça ?!

Puis, je me rappelai ce qu'elle avait dit. Sa vie se résumait-elle vraiment à ce parc, son appartement et à la fin de ses études ? J'en doutais fort. Mais comment lui faire comprendre la beauté qu'elle dégageait ? Comment lui faire voir ce qu'elle me faisait, à moi, démon des ténèbres ?

"Je crois que vous avez tort miss Basinio. Je suis certain que vous avez bien des choses à me raconter... Mais dites-moi Serena... Je crois comprendre ce que vous ressentez... Puis-je tenter de vous convaincre que vous n'êtes l'être banal et ordinaire que vous pensez être ? Puis-je vous démontrer comment je vous vois, comment vous apparaissez à mes yeux ? Je vous avertis... Je peux détecter des choses qui ne sont pas toujours visibles à ceux qui ne voient qu'avec leurs yeux. Je peux... voir la beauté, là où elle se trouve réellement."

Je lui fis un léger rire avant de désigner le magnifique parc dans lequel nous nous trouvions. Puis, je reposai mes yeux sur elle, espérant qu'elle comprenne qu'elle était aussi belle et même bien plus magnifique que toutes ces femmes refaites entièrement de silicone. Mais comprendrait-elle seulement ?

Messages : 14 Date d'inscription : 05/03/2010

Il me fixait encore,mais cette fois-ci, un air de dégoût traversa son magnifique visage laissant apparaître une moue contrariée. Avais-je dis encore quelque chose de trop...Sûrement ,et sa me dérangeais un peu plus car je ne voulais point contrarié ce bel Appolon...Je sentis la culpabilité montée en moi et faire trembler mes délicates mains....Je ne savais quoi penser...

"Je crois que vous avez tort miss Basinio. Je suis certain que vous avez bien des choses à me raconter... Mais dites-moi Serena... Je crois comprendre ce que vous ressentez... Puis-je tenter de vous convaincre que vous n'êtes l'être banal et ordinaire que vous pensez être ? Puis-je vous démontrer comment je vous vois, comment vous apparaissez à mes yeux ? Je vous avertis... Je peux détecter des choses qui ne sont pas toujours visibles à ceux qui ne voient qu'avec leurs yeux. Je peux... voir la beauté, là où elle se trouve réellement."

J'étais surprise et très émue par cette dernière phrase.Elle m'avait figée sur le banc,une seule chose m'échappait encore, comment pouvait-il voir ainsi.Il m'intriguait de plus en plus, j'avais vraiment envie de connaître ce mystérieux don...Il me cachait quelque chose mais curieusment je me sentais attirée comme jamais auparavant moi qui est très prudente d'habitude

-Vous m'intriguer de plus en plus,laisser moi vous poser une question.Pouvons-nous nous retirer et en discutez de façon plus discrète,à l'abris des regards...Comme j'habite pas trop loin on pourrait y faire un tour avant la tombée de la nuit...

Au fond de moi j'espèrai qu'il ne voit pas vers où je voulais me diriger, car c'est certain qu'il ne voudrait pas me suivre,mais je voulais tout de même m'essayer.On sait jamais peut-être découverai-je quelque chose d'intéressant qui mettrait un peu de piquant dans ma vie.Et puis on a bien droit de rêver aussi...

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